Quels merveilleux moments en famille! dès le 24 Décembre nous sommes ensemble avec Claire, Franck, Noé, Olive, Auguste et Ulysse, reçus par Charlotte et Philippe avec Doris, Merlin et Solal. Le temps généralement maussade permettra cependant de faire de belles promenades, et le jour de Noël nous irons sous le soleil gravir ensemble (Solal porté par son papa) sur la "montagne" qui est en face de la maison.
Le 24 au soir, il y a une messe pour les enfants et les familles, à Saint Jean le Centenier. Bien sûr la troupe s'ébranle tardivement, c'est toujours un peu long de remplir deux voitures, et lorsque nous arrivons à l'église nous la trouvons déjà pleine, heureusement nous pouvons nous faufiler à la tribune, par un raide escalier de pierre. La messe se termine à 19heures 30, il fait nuit noire, mais l'impression est qu'il est vraiment tard et que c'est le moment de diner sur une table magnifiquement décorée, avec des coquilles saint Jacques sur un lit de poireaux et d'échalotes grillées.
C'est à ce moment que nous aurons d'abord un message texto de Benoît qui, avec Isabelle, Paul, Marie et Nicolas, a entendu la messe en Français à la cathédrale d'Hanoï, puis un long appel téléphonique d'Emmanuel et Filipa depuis la fazenda là-bas au Brésil...
C'est vraiment Noël !! nous sommes tous réunis !
Les images jointes donnent une idée de nos trois jours. Même si l'on voit peu le moment tant attendu où chacun découvre ses cadeaux.
Le dimanche 26, après le départ des Giraud, nous nous retrouverons avec les Woehling au grand complet pour la messe de 11heures à Villeneuve. Puis un repas pour finir le saumon avec le riz et les châtaignes, reste des garnitures pour l'énorme poulet de la veille. Il pleut à nouveau dehors, mais les cœurs sont en fête.
Nous sommes Marie-José et moi rentrés le dimanche après-midi à Lyon, où nous attendent Claire et Franck et leurs enfants, quelle joie à nouveau !
Un dimanche de plongée
mardi 29 décembre 2009
lundi 14 décembre 2009
jeudi 10 décembre 2009
Elle est revenue...
Aqui vão as últimas fotos do Tomas!
Bjs
Filipa
Merci à Filipa de ces belles iages.
Je peux les montrer à Marie-José, rentrée du Tchad avant-hier, et en pleine forme .
Gentiment, la Communauté a reçu Marie-José à déjeuner, pour qu’elle puisse témoigner de ce que ce voyage lui a apporté. Jacques Lettu pose la question : qu’est-ce qui t’a étonnée dans cette expérience. ?
Ce qui a permis un témoignage que chacun a trouvé passionnant. Jacques a ajouté que ce serait bien d’en faire un document écrit… il a même parlé d’un livre..
Allez, courage ! madame Rengade.
Entre temps nous avons pu entendre chacun des enfants, qui de Tokyo, qui de SaoPaulo, qui de l’Ardèche ou du Gard. Le petit Ulysse, qui s’est fracturé la clavicule samedi dernier, semble, au dire de sa sœur Olive, profiter de la situation pour se faire servir… il a bien raison. Et puis ce respect des ainés ne va sans doute pas durer…
lundi 30 novembre 2009
Le Tchad vu de Lyon
Marie-José m'a raconté les préparatifs de son voyage vers Mongo, pour l'ordination épiscopale de Henry Coudray ; elle n'a pas pu trouver place dans la voiture conditionnée de l'évêque de N'Djamena, il était déjà parti là-bas...
Alain à qui j'en parle aujourd'hui me dit que cette voiture du prélat est dérisoirement nommée "l'éléphant congelé" car elle est blanche et réfrigérée...
Donc Marie-José me dit qu'elle a réservé une place dans le car qui va aller à l'ordination, et qu'elle devra coucher en route à la belle étoile, il lui est recommandé de prendre une natte pour s'étendre par terre et un lainage car la nuit peut être fraîche et la température descendre jusqu'à 25°, ce qui est froid pour le pays.
En attendant elle s'est rendue à l'hôtel de la capitale, et y a invité une soeur de la communauté, elles ont bu un jus de fruit au bord de la piscine. Mais ensuite, comme c'est la "fête du mouton" il est difficile de trouver un taxi, et celui-ci tombe en panne d'essence !! Il faudra plus de deux heures au conducteur pour revenir avec un litre d'essence dans une bouteille de coca-cola !!! Elles seront à l'hôpital pour le dîner...
En ce qui me concerne, j'ai pu aller samedi matin à la foire aux vins à Limonest, et ensuite nous avons déjeuné à la maison avec Yves, autour d'une douzaine d'huitres que nous avons partagées, puis des filets de canard grillés sur un lit de pommes sautées. Un bon médoc là-dessus, et un café, ce fut une fête.
Vers quatre heures Hervé Monroe me prend pour aller à Saint Genis Laval, pour la collecte de la Banque Alimentaire, dans un vent très violent qui transperçait les vêtements. La collecte serait aussi bonne que l'année dernière, et le président Henri Chatouillot est parait-il satisfait.
Hier dimanche, j'étais convié à déjeuner chez Marie-Christine et Luc Lagabrielle, en compagnie du papa de Luc, que nous appelons Jean-Mi, nous avons évoqué sa fille (mademoiselle Lagabrielle) qui fut la maîtresse de Claire et Charlotte à l'école de la rue Boissac. Elle est maintenant mère de famille, je crois à Montpellier, et rêve d'aller enseigner en Afrique...
En rentrant rue Henri IV, j'ai regardé "le diable s'habille en prada" que j'ai trouvé être un bon film.
Auparavant nous étions entrés dans la période de l'Avent, au cours d'une bien festive célébration présidée par Stefan. Une nouvelle année liturgique commence; Bonne Année !!!
Alain à qui j'en parle aujourd'hui me dit que cette voiture du prélat est dérisoirement nommée "l'éléphant congelé" car elle est blanche et réfrigérée...
Donc Marie-José me dit qu'elle a réservé une place dans le car qui va aller à l'ordination, et qu'elle devra coucher en route à la belle étoile, il lui est recommandé de prendre une natte pour s'étendre par terre et un lainage car la nuit peut être fraîche et la température descendre jusqu'à 25°, ce qui est froid pour le pays.
En attendant elle s'est rendue à l'hôtel de la capitale, et y a invité une soeur de la communauté, elles ont bu un jus de fruit au bord de la piscine. Mais ensuite, comme c'est la "fête du mouton" il est difficile de trouver un taxi, et celui-ci tombe en panne d'essence !! Il faudra plus de deux heures au conducteur pour revenir avec un litre d'essence dans une bouteille de coca-cola !!! Elles seront à l'hôpital pour le dîner...
En ce qui me concerne, j'ai pu aller samedi matin à la foire aux vins à Limonest, et ensuite nous avons déjeuné à la maison avec Yves, autour d'une douzaine d'huitres que nous avons partagées, puis des filets de canard grillés sur un lit de pommes sautées. Un bon médoc là-dessus, et un café, ce fut une fête.
Vers quatre heures Hervé Monroe me prend pour aller à Saint Genis Laval, pour la collecte de la Banque Alimentaire, dans un vent très violent qui transperçait les vêtements. La collecte serait aussi bonne que l'année dernière, et le président Henri Chatouillot est parait-il satisfait.
Hier dimanche, j'étais convié à déjeuner chez Marie-Christine et Luc Lagabrielle, en compagnie du papa de Luc, que nous appelons Jean-Mi, nous avons évoqué sa fille (mademoiselle Lagabrielle) qui fut la maîtresse de Claire et Charlotte à l'école de la rue Boissac. Elle est maintenant mère de famille, je crois à Montpellier, et rêve d'aller enseigner en Afrique...
En rentrant rue Henri IV, j'ai regardé "le diable s'habille en prada" que j'ai trouvé être un bon film.
Auparavant nous étions entrés dans la période de l'Avent, au cours d'une bien festive célébration présidée par Stefan. Une nouvelle année liturgique commence; Bonne Année !!!
dimanche 22 novembre 2009
une escapade auvergnate
Hier, avec Yves et son fils Olivier, je suis allé jusqu'au Bousquet pour fermer la maison ; on m'avait dit que plusieurs volets étaient mal fermés...
le couderc est couvert de feuilles, les haies déjà taillées, le gravillon parfaitement balayé : Robert a bien fait son travail. Côté jardin, on voit des allées bien propres, et les plates-bandes bien grattées sous les rosiers...
La maison est froide, mais propre, sauf dans la pièce du bas, où un nuage de mouches m'accueille, et je dois dire que cette maison vraiment a une âme. C'est d'ailleurs ce que trouvent les amis, très contents de cette visite, et bien disposés à y revenir.
Avant de partir, je donne un memento de mes parents à Madame Joanny, absolument ravie de ce cadeau qui semble la toucher beaucoup. Elle en profite pour rappeler la gentillesse de la famille à son égard, et tous les moments de "bonne rigolade", avec papa, et surtout avec Emmanuel et Martin. Elle aimerait voir Manu plus souvent.
Comme la maison est à la fois fraîche et humide, j'improvise un programme avec visite de Salers, tout silencieux et vide dans ses ruelles, infiniment plus beau dans ces conditions, et sans toutes ces échopes de souvenirs ou galeries d'art, ou d'artisans, qui sont totalement fermées.
Un seul restaurant est ouvert, tous les hôtels sont fermés. Nous déjeunons ma foi très bien, avec quelques spécialités que découvrent mes compagnons, qui s'extasient en goûtant le pounti et surtout la truffade, arrosés par un excellent cahors.
Puis après avoir admiré la panorama depuis l'esplanade, et comme la route du Puy Mary est fermée, cap sur Tournemire, il ont très envie de voir Anjony de près, même s'il n'y a pas de visite en ce moment.
Le temps est magnifique, pas trop frais, il y a une lumière splendide qui nous accompagnera au col du Bruel, puis sur la route que j'aime tant où nous nous sommes promené à pied avec les Troussel, puis la montée au col du Perthus avec arrêt pour le panorama sur les monts d'Auvergne et le cirque de Mandailles, puis sur l'Elancèze avec en premier plan des sorbiers rouge sombre flamboyant dans le soleil couchant.
Le retour avec la nuit qui tombait à peine fut une formalité, peu de trafic et toujours un temps sec et transparent.
Mais ma petite femme me manque, et je pense sans cesse à elle, en essayant d'imaginer ce qu'elle peut faire, dans des lieux que je ne connais pas, mais que j'imagine cependant à travers les documents que j'ai réunis sur le blog du Tchad. Surtout cette attente de sa voix au téléphone, rendue aléatoire par des horaires fantaisistes depuis quelques jours. Ce qui m'a fait penser au Petit Prince avec le renard, que je mets en annexe. Si elle pouvait respecter un horaire, et surtout ne pas couper son téléphone dans le créneau qu'elle choisit !! Je continuerai à tenter ma chance vers 20 heures, sauf contre-ordre.
Hier et aujourd'hui, je suis resté sans faire grand'chose, refusant même plusieurs invitations. Mais ce soir je reprends le rythme de la semaine avec la messe à la Communauté, aujourd'hui c'est le Christ-Roi, une belle et grande fête.
le couderc est couvert de feuilles, les haies déjà taillées, le gravillon parfaitement balayé : Robert a bien fait son travail. Côté jardin, on voit des allées bien propres, et les plates-bandes bien grattées sous les rosiers...
La maison est froide, mais propre, sauf dans la pièce du bas, où un nuage de mouches m'accueille, et je dois dire que cette maison vraiment a une âme. C'est d'ailleurs ce que trouvent les amis, très contents de cette visite, et bien disposés à y revenir.
Avant de partir, je donne un memento de mes parents à Madame Joanny, absolument ravie de ce cadeau qui semble la toucher beaucoup. Elle en profite pour rappeler la gentillesse de la famille à son égard, et tous les moments de "bonne rigolade", avec papa, et surtout avec Emmanuel et Martin. Elle aimerait voir Manu plus souvent.
Comme la maison est à la fois fraîche et humide, j'improvise un programme avec visite de Salers, tout silencieux et vide dans ses ruelles, infiniment plus beau dans ces conditions, et sans toutes ces échopes de souvenirs ou galeries d'art, ou d'artisans, qui sont totalement fermées.
Un seul restaurant est ouvert, tous les hôtels sont fermés. Nous déjeunons ma foi très bien, avec quelques spécialités que découvrent mes compagnons, qui s'extasient en goûtant le pounti et surtout la truffade, arrosés par un excellent cahors.
Puis après avoir admiré la panorama depuis l'esplanade, et comme la route du Puy Mary est fermée, cap sur Tournemire, il ont très envie de voir Anjony de près, même s'il n'y a pas de visite en ce moment.
Le temps est magnifique, pas trop frais, il y a une lumière splendide qui nous accompagnera au col du Bruel, puis sur la route que j'aime tant où nous nous sommes promené à pied avec les Troussel, puis la montée au col du Perthus avec arrêt pour le panorama sur les monts d'Auvergne et le cirque de Mandailles, puis sur l'Elancèze avec en premier plan des sorbiers rouge sombre flamboyant dans le soleil couchant.
Le retour avec la nuit qui tombait à peine fut une formalité, peu de trafic et toujours un temps sec et transparent.
Mais ma petite femme me manque, et je pense sans cesse à elle, en essayant d'imaginer ce qu'elle peut faire, dans des lieux que je ne connais pas, mais que j'imagine cependant à travers les documents que j'ai réunis sur le blog du Tchad. Surtout cette attente de sa voix au téléphone, rendue aléatoire par des horaires fantaisistes depuis quelques jours. Ce qui m'a fait penser au Petit Prince avec le renard, que je mets en annexe. Si elle pouvait respecter un horaire, et surtout ne pas couper son téléphone dans le créneau qu'elle choisit !! Je continuerai à tenter ma chance vers 20 heures, sauf contre-ordre.
Hier et aujourd'hui, je suis resté sans faire grand'chose, refusant même plusieurs invitations. Mais ce soir je reprends le rythme de la semaine avec la messe à la Communauté, aujourd'hui c'est le Christ-Roi, une belle et grande fête.
mercredi 28 octobre 2009
OCTOBRE
Quelques nouvelles des uns et des autres.
La plus merveilleuse, la naissance de Thomas (ou Tomas comme dit Filipa).
Claire et Franck partis avec les quatre pour apprendre un peu l'Espagnol...Marie-José est restée une semaine avec les enfants à Durfort avant cela.
Benoît et Paul plongent ,voir diaporama de leurs dernières aventures sous marines.
Philippe et Chatty enchantés de leur séjour à Gap, merveilleuses couleurs d'automne sur la route!!
La plus merveilleuse, la naissance de Thomas (ou Tomas comme dit Filipa).
Claire et Franck partis avec les quatre pour apprendre un peu l'Espagnol...Marie-José est restée une semaine avec les enfants à Durfort avant cela.
Benoît et Paul plongent ,voir diaporama de leurs dernières aventures sous marines.
Philippe et Chatty enchantés de leur séjour à Gap, merveilleuses couleurs d'automne sur la route!!
jeudi 17 septembre 2009
LES MONTAGNARDS SONT LA
Les images de vacances arrivent, avec leur cortège de souvenirs. Celle-ci retrace une sortie vers le Pic de l'Elancèze, je suis bien content d'avoir atteint le col(environ 1400 mètres), tandis que j'envoyais le reste de la compagnie vers le Puy Griou, pour un parcours plus panoramique. Ils n'y sont jamais arrivés, arrêtés à mi-pente par un champs de myrtille, et sont revenus avec des gueules noires...
La photographie a été prise par Franck un peu après le col de façon que le grand-père soit dans le paysage.
mercredi 16 septembre 2009
C'est la rentrée...
15 Septembre 2009
Pour la fête de la Croix Glorieuse,le célébrant nous dit :
"J'aime bien cette fête, car elle ne m'oblige pas à choisir entre la croix et la gloire, comme on pourrait être tenté de faire. Aujourd'hui je suis invité à fêter à la fois la croix et la gloire..."
Cela me semble une bonne piste pour débuter cette nouvelle rentrée, même si notre Eglise, nous confie le prédicateur, a connu des époques où on célébrait uniquement la gloire, et cela pendant des siècles, ou a contrario des siècles entiers où il était conseillé de ne considérer que la souffrance.
Ce chemin suggéré aujourd'hui n'est sans doute pas facile mais nous pouvons espérer le suivre dans l'Espérance.
mercredi 17 juin 2009
HISTOIRE DE FAMILLE
mercredi 17 Juin 2009
J'ai choisi cette image de montagne, qui correspond à une course que j'ai faite tout seul,après une nuit au refuge de l'Etendard (c'était encore le vieux refuge) en me raccrochant à une cordée pour la progression sur le glacier qui était très crevassé...
Le descriptif Didier Richard ne faisait part d'aucune difficulté, mais il s'agit en réalité d'un parcours de haute montagne, et il aurait été imprudent, compte tenu de mon inexpérience, de m'y aventurer seul.
Ce propos illustre ce qu'est la vie : une aventure où l'on a besoin des autres, ou bien un pélerinage où il est bon de partager.
Par hasard le premier de cordée était aussi le Vicaire Général de Chambéry. Je ne l'ai pas revu ensuite.
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